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Un sac sur le dos Un sac sur le dos
Amandine

Si vous vous reconnaissez dans ces signes, j’ai une mauvaise nouvelle pour vous : vous êtes un aventurier !

Il ne vous manque sans doute pas grand chose (un chapeau et un fouet peut-être ?!) pour partir à l’aventure !

Voici mon petit top 9 des signes qui révèlent l’aventurier qui sommeille en vous.

  1. Jusqu’à la dernière goutte

    Il existe deux catégories de personnes qui attendent la dernière minute pour aller faire le plein :

    • ceux qui ont du mal à la fin du mois,
    • et ceux qui veulent battre leur record des kilomètres fait avec un seul plein, au risque de devoir pousser la voiture sur les 200 dernières mètres.
  2. Vous ne passerez-pas !

    Vous vous faufilez in extremis dans les portes tournantes ou les portes qui se referment automatiquement, tel Indiana Jones risquant de se faire écraser en récupérant son chapeau fétiche au dernier moment.

  3. A la bourre

    Quand retentit la sonnerie du départ du train ou du métro, vous ne pouvez vous empêcher de courir et de sauter dans la rame pendant la fermeture des portes, au risque de vous fracturer le nez !

  4. Quand Monsieur curieux rencontre Monsieur gourmand

    Vous êtes toujours curieux de tout goûter. Vous choisissez systématiquement le plat de la carte que vous ne comprenez pas, et dont le nom est tout aussi imprononçable q’un volcan islandais ?! Quelqu’un mange devant vous un plat inconnu ? Ou on vous propose un restaurant d’une nationalité que vous n’avez jamais testé ? Vous êtes toujours partant pour faire de nouvelles expériences !

  5. Tous au cirque

     

    Vous aimez prendre des risques au quotidien. Même vider le lave-vaisselle devient un challenge : combien de verres allez-vous pouvoir prendre en un trajet ?!

    Et vous servir à boire devient un jeu : jusqu’où pourrez-vous remplir le verre sans le faire déborder et sans en renverser ?!

  6. Les raccourcis plus longs

    Ha, ce que j’ai pu me perdre dans les ruelles de Venise !

    Comment relier le point A au point B ? Il y a sûrment un meilleur chemin que celui que l’on vous a indiqué : à vous de le découvrir !

    Mais en traçant votre route, vous tomberez sur des sens interdits, des déviations, des travaux, des culs de sacs…

    Et jamais un raccourci n’aura été aussi long !

  7. Place à l’impro

    De la même manière que vous aimez découvrir de nouveaux sentiers, vous vous refusez à vivre toujours les mêmes choses aux mêmes heures, ou a planifier votre semaine avec la précision d’un horloger. Qu’allez-vous manger ce soir ? Mystère ! Que ferez vous ce week-end ? Ce qui vous fera envie !

  8. Déboussolés

    Vous aimez partir en randonnée « en mode débrouille » : une fois sur la route,  vous vous rendez compte que vous avez oublié, comme à chaque fois, de prendre une carte ou un GPS…

    Vous tentez quand-même l’aventure, quitte à vous retrouver perdu au milieu des bois… !

  9. Toujours partant

    IMG_1403Vous avez envie de bouger et de faire de nouvelles expériences ?

    Vous êtes toujours le premier à proposer les bons plans : un acrobranche, un laser-game, une descente de rivière… Tout est bon du moment que vous puissiez étancher votre soif de mouvement et de découverte !

Alors, c’est grave docteur ?

Alors, quel est votre score ? Partagez-le dans les commentaires, que l’on puisse voir qui est le plus atteint du « syndrôme de l’aventurier » !

Vous en voyez d’autres ? Laissez vos idées dans les commentaires. J’ajouterai les plus sympas dans l’article !

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34 réponses à “Ces petits signes qui montrent que vous êtes un aventurier”

  1. J’avoue, je me jette sur les portes du métro qui se referment ! Mais non, pitié, je ne suis pas un aventurier, surtout pas malheureux 😉

    • Effectivement, tu me sembles sérieusement atteint du syndrome de l’aventurier (je suis dans le même cas, car j’ai exactement le même score !). Et les voyages sont un bon remède … à moins qu’ils n’aggravent le mal ?!

  2. 8/9 Tout va bien !

    Par contre j’ai tendance à être parfois trop téméraire. Du style à partir en randonnée dans la montagne sans tenir compte de la météo dégueulasse.
    A ne pas écouter les péruviens qui me disent : « cuidado es peligroso » et à me prendre bêtement un coup de machette.
    A suivre n’importe quel mec sympa dans les coins reculés de Bogotá sans savoir où cela me mènera… Et j’en passe.

    Mais j’aime ça ! Cette petite adrénaline amène toujours à la même finalité : une grosse bouffée de ma molécule préférée : l’endorphine. ^^

    • Je reconnais le drogué d’adrénaline en toi !
      Je suis quand même moins extrême que toi, dans le sens ou si des locaux me disent : « non, c’est pas une bonne idée d’y aller pendant la saison des pluies, c’est dangereux, les routes sont pas praticables », je prends plusieurs avis … Jusqu’à en trouver au moins un qui est d’accord pour dire que c’est faisable !

      Dans le genre, je me suis retrouvée bloquée dans un bus de retour de Chachapoyas vers Chiclayo , à cause d’éboulement sur la route. Un trajet qui devait en durer 8h s’est éternisé et au final a duré 26h (sans boire ni manger … ni d’accès aux toilette !). Mais lors de mon dernier voyage au Pérou en janvier dernier, je me suis retenue de refaire la même chose et n’ai pas été visiter Choquequirao. J’y retournerai hors de la saison des pluies (bonne excuse aussi pour « devoir » aller au Pérou une fois de plus !).

      • En même temps, les plans galère, ça fait des souvenirs après ! C’est pas toujours très drôle quand ça nous tombe dessus mais je ne pense pas regretter un seul de ceux qui ont pu me tomber dessus.

      • Tout à fait d’accord ! D’ailleurs maintenant, avec l’expérience, je prends avec beaucoup plus de philosophie les petits coups durs des voyages, sachant que j’en rirai demain (ou un peu plus tard …) et que ça crée des souvenirs !

  3. Ah oui, définitivement aventurière… mais une aventurière qui fait attention. Et que de plaisir à se perdre, en effet, dans les rues de villes italiennes! 🙂

    • Faire de sa vie une aventure, toute une philosophie ! Et c’est vrai que je garde de très beaux souvenirs de ces dédales italiens … que je retrouverai d’ici quelques jours avec grand plaisir ! 🙂

    • ça sent le vécu 😉
      8.5/9, tu es sur la deuxième place du podium !
      Perso je ne fais « que » 8/9 : le coup de la panne d’essence, ce n’est pas trop mon trip (j’ai déjà expérimenté, c’est bon !).

  4. Hello !
    Excellent ton article ! Je me retrouve un peu dans tous les points sauf le métro. Il y en a pas chez moi 😉 ! Mais si l’occasion se présente, j’attendrai le suivant surtout s’il est blindé. Donc 8/9 également.
    Merci à bientôt !

    Fredo

    • Joli score Fredo 😉
      Le métro bondé, je dois avouer que j’ai de plus en plus de mal … jouer la sardine, c’est pas mon déguisement préféré !
      L’idée ici, c’était plus monter à la dernière minute, genre t’arrives sur le quai et la sonnerie de fermeture des portes retentit … viiite : je cours et je monte in extremis, genre Indiana Jones qui récupère son chapeau sous la porte qui s’abaisse 😉

      • D’accord, je préfère prendre mon temps quand même lol. Ou alors c’est que l’on m’a lancé un défi ! 😉

    • Salut Piotr, plus qu’une définition de l’aventure, ce petit test se veut humoristique 😉 Mais ça va, je vois que tu l’as bien pris ! 😉

      Tu lances une question intéressante par contre : quelle serait selon toi la définition de l’aventure ? Curieuse d’avoir le point de vue d’un voyageur chevronné, à l’éclairage de ton projet des 7 sommets !

      • Le vrai aventurier c’est celui qui sait que ses rêves d’aventures pourront sans doute lui coûter la vie mais qui ira au bout… mais c’est fait de plein de petits détails.
        C’est s’entraîner qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, c’est pousser son corps à ses limites, c’est donner sa dernière paire de chaussettes à son coéquipier pour qu’il évite une gelure fatale bien que l’on a froid…

  5. En rando, j’oublie toujours tout (carte, GPS, et même de prendre à manger ou à boire !) mais c’est plus de la désorganisation que de l’aventure à mon sens !!
    Sinon, le test est sympa et pertinent 🙂

  6. C’est marrant, en commençant à lire cet article je me suis dit « non je ne me reconnais pas tellement dans ces trucs-là », mais finalement l’idée globale de tes écrits ici m’a fait beaucoup de bien en me donnant simplement l’idée que les choses les plus « banales » de la vie quotidienne pouvaient en fait être amusantes et devenir originales avec une bonne philosophie de vie. Je pense avoir appris beaucoup plus ces 8 derniers mois qu’en plusieurs années (j’aimerais d’ailleurs t’envoyer un message parce que je pense que tu pourrais m’aider à remettre certaines choses au clair par rapport au voyage, mais j’ai peur de t’ennuyer car je pense que ce serait un message assez long et bon, tu as sûrement mieux à faire ^^) et j’apprends toujours, comme ici, et ça fait du bien, donc merci !

    • Merci Amélie pour ton message, cela me fait toujours plaisir de lire les pensées des personnes qui m’ont lue ! 😉
      Je ne me considère pas non plus comme une aventurière, mais j’aime l’idée qu’on peut « pimenter » son quotidien par un état d’esprit qui permet de briser les routines !
      N’ai pas peur de m’envoyer un message (via la page de contact du site), c’est toujours avec beaucoup d’attention que je lis chacun des messages que nous recevons (parfois je prends un peu de temps pour répondre, car j’aime réfléchir avant d’écrire et aussi/surtout parce qu’en voyage ce n’est pas toujours évident de tout gérer et d’avoir le temps de répondre à tout le monde… sans compter les connexions internet aléatoires ! 😉 ).
      Au plaisir de te lire 🙂

  7. Oulala j’ai eu 9/9 ! Je ne me pensais pas « autant atteinte » ! D’un signe astrologique de feu : le sagittaire, je suis guidée par mon esprit d’aventure et mes passions… au risque de me brûler les ailes ! Comme grand voyage je suis partie un an en Australie puis 9 mois en Nouvelle-Zélande pour visiter et bosser… Que de belles expériences…

    • Ahah Anaïs, tu sembles bien atteinte ! 😉 😀

      Tu as l’air d’avoir déjà vécu de magnifiques aventures… Nous t’en souhaitons encore beaucoup d’autres aux quatre coins de notre belle planète ! ^^

      Au plaisir d’échanger dans de futurs commentaires, bons voyages !

  8. 9/9, tout de l’aventurier! J’adore! Sur la route en ce moment, au Brésil. Pour donner un exemple, j’ai traversé la Patagonie en stop , pendant plus de deux mois sans carte , je me suis régalé. Ou je ne réserve jamais d’auberge en ligne avant d’arriver dans un endroit, que ce soit de nuit ou de jour, j’improvise. Merci pour l’article.

    • Ahah, félicitations pour ce score Jérôme ! 😉

      Bonne continuation à toi et beaux voyages ! Au plaisir d’échanger dans de futurs commentaires (tu trouveras plein d’article sur l’Amérique du Sud et plusieurs sur la Patagonie : une région dont nous sommes tombés amoureux !).

  9. La définition de l’aventure pour Azucena : c’est quand tu dois aller quelque part et que tu y vas sans savoir comment tu vas arriver à tes fins, quand il y a une grosse part d’inconnu. Ce qui m’exalte est de faire rejaillir dans cette masse d’incertitudes des personnes ou des solutions qui me font atteindre mon but.
    Patrice : l’aventure c’est l’inconnu dans une activité pour le plaisir, c’est accepter d’être confronté à des situations nouvelles, de chercher les solutions et les trouver.

    • Bonjour Patrice, merci pour votre commentaire. Je suis bien d’accord, l’aventure à ce parfum de mystère, de nouveauté, d’inconnu, de nouveauté : on sort de notre zone de confort, on avance sans trop savoir où et/ou comment avancer !

  10. Bonjour,
    Voici quelques symptômes dont je suis atteint.
    1. Mais valises sont toujours prêtes mais jamais bouclées. Je les complète jusqu’à la dernière minute souvent à 2 ou 3 heures du matin avant le départ. Quand je monte dans l’avion ou le train je suis épuisé. Quand je suis installé dans mon siège de seconde classe je m’abandonne au bonheur de partir.
    2. Je ne prends jamais de réservation, ni d’hôtel, ni de billet de retour. J’ai récemment été refoulé à la frontière tunisienne, et reconduit manu militari au bateau qui m’avait amené parce que je n’avais pas acheté de billet de retour ni réservé d’hôtel. J’aurais dû réserver pour pouvoir m’y confiner pour une semaine dans le cadre des mesures anti-covid.
    3. Je suis généralement en retard, et je transpire à courir pour ne pas rater un avion. Je me souviens, en Angola, d’avoir été sous la douche alors que j’entendais atterrir l’avion qui devait m’embarquer. Maintenant j’ai renoncé à voler. Je voyage en bateau ou en train et me déplace en moto sur une vieille Honda Shadow (chargée comme une mule).
    4. Le point le plus important : quand je repars j’ai le sentiment très fort de « rentrer chez moi », ce qui m’apaise radicalement.
    5. En France je suis tracassé par des troubles psychiques de la famille des bi-polaires qui se traduisent par un comportement addictif dont je ne veux pas parler. Ces troubles disparaissent de façon durable dès que je suis en voyage.
    6. J’ai travaillé pendant 18 ans comme logisticien dans des missions d’urgence humanitaire. Auparavant j’avais un cabinet de gestion immobilière.
    7. Lorsque je suis en danger je prends les choses en main, souvent lorsque les autres se trouvent prostrés par les événements. L’adrénaline me stimule. J’ai ainsi pu exercer de réelles responsabilités dans mes missions.

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