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Un sac sur le dos Un sac sur le dos
François

Avec ses 14 litres de capacité, le sac Osprey Raptor 14 est-il un bon choix pour qui souhaite se déplacer à vélo ? Ce sac nous réserve bien des surprises !

Présentation

Osprey Raptor 14
Osprey Raptor 14

La première chose que l’on remarque sur ce petit sac, c’est son long tuyau d’arrivée d’eau. À l’une de ses extrémités, il se fixe à une bretelle à l’aide d’un aimant (très pratique lorsque l’on est en déplacement et que l’on n’a pas le temps de s’arrêter pour boire), et de l’autre côté, il plonge dans le sac vers une poche à eau de 3L (qui ici est fournie, contrairement à l’Opsrey Escapist 20).

L’idée est bonne, car le sac, avec ses maigres 14L de rangement, n’est pas vraiment orienté pour la balade calme et reposée, mais bien pour les plus sportifs qui ne s’encombrent que du strict minimum.

Le système du dos aéré (Airscape) est un vrai plus pour ceux qui ont prévu de se donner à fond !

Le vrai défaut de ce sac concerne sa résistance : pour les vététistes, susceptibles de frôler les branches d’arbres ou de chuter, la matière qui recouvre le sac est un peu légère à notre goût. Notre sac est tombé (OK, d’assez haut, et avec le MacBook Air à l’intérieur, ce qui a rendu la chute plus dure pour le sac !) et le tissu a lâché à l’endroit de l’impact. Nous avons désormais un petit trou d’un centimètre, heureusement c’est réparable avec ce genre de matériau utilisé (et surtout heureusement, l’ordinateur n’a rien !).

Aménagements

Outre l’installation pour les assoiffés, on retrouve les classiques du sac pour cyclistes : une poche à outils dans le bas du sac, avec un système de rangement déroulant, une attache pour y mettre un feu arrière, et une attache pour le casque. Les autres rangements sont assez efficaces, on a même pu mettre nos MacBook Air sans difficulté.

Une poche élastique à l’avant peut être utilisée pour avoir un accès aisé à un appareil photo compact ou un téléphone. On peut également mettre ces appareils dans les poches de la ceinture ventrale, pour un accès rapide sans même devoir enlever son sac. Décidément, on  du mal à croire qu’un si petit sac en apparence puisse contenir autant de choses !

Seul point négatif au niveau capacité et aménagement du sac : une fois les affaires casées dans la poche principale, il est assez difficile d’y avoir accès sans devoir tout vider. Vu l’étroitesse du sac, c’est assez logique et cet inconvénient est compensé par la poche élastique à l’avant.

Conclusion

Un très bon sac orienté pour les plus sportifs minimalistes et les plus pressés.

Le produit testé : Osprey Raptor 14

Les plus

  • bonne gestion des aménagements
  • système d’hydratation

Les moins

  • tissu un peu léger
  • pas de housse de pluie fournie
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6 réponses à “Test : Sac à dos Osprey Raptor 14”

  1. Amandine t’as de bons goûts, j’ai le même depuis août dernier 😉

    De mon côté je l’utilise à tout va. Que ce soit pour le vélo, les randos, les visites d’une journée ou en sac d’appoint journalier… en vacances ou non.
    Avec la poche d’eau, j’arrive à y mettre tout le matériel photo nécessaire (et je m’encombre pourtant facilement avec ce dernier) tout en ayant de la place pour un sandwich, un fruit – Merci la poche flexible comme tu l’as évoqué – et les papiers – Les poches de la ceinture étant assez larges.
    J’ai opté pour une housse de pluie en sus qui se glisse facilement entre les outils ou autour du tube de la poche à eau, au moins pas de bobo au matériel photo si je dois passer sous des cascades comme cela m’arrive souvent.
    Pour le tissue j’avoue qu’il est fin mais je n’ai pas encore eu de déchirures ou autre.
    Tu as réparé le sac avec quoi ?

    • Haha, merci Céline 😉

      Je l’utilise aussi pour d’autres usages que le vélo ; mais c’est « son grand frère » le Osprey Escapist 20 que j’emporte tous mes déplacements à présent. La preuve ? Il nous a suivi dans notre voyage d’un an (cf. projet « Back To America »). C’est un bon sac d’appoint, d’une taille idéale pour moi.

      Pour ce qui est de la réparation, vu la petite taille du trou… je ne l’ai pas (encore ?) réparé ! (En plus je suis assez mauvaise couturière, je m’en voudrais de l’amocher davantage ! 😉 )

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